L'homme augmenté - Partie 1 - Pour le Don d’Organes et de Tissus Humains
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L’homme augmenté – Partie 1

Dans les années 70, le petit écran vit l’arrivée d’une série tenant de la science-fiction : « L’homme qui valait 3 visuel-homme-qui-valait-trois-milliardsmilliards ». L’histoire d’un astronaute victime d’un grave accident le laissant quasiment mort. Des scientifiques mirent au point des techniques pour le reconstruire.
Aujourd’hui, lesdites techniques ont été réfléchies et développées. Et si la réalité avait dépassé la fiction ? Tour d’horizon en trois épisodes.

 

 

Episode 1 : Prothèses et implants

Les progrès en électronique et en robotique, notamment, permettent d’améliorer sans cesse la qualité, la liaison et la performance de membres ou d’organes de remplacement.

CRANE

Le français OsseoMatrix met au point, à partir de scanners 3D, des implants bio-céramiques sur mesure, capables de compenser d’importantes pertes osseuses touchant en particulier le crâne ou le visage. Les technologies d’impression 3D vont par ailleurs révolutionner l’orthopédie, en produisant des  exosquelettes  personnalisés, légers, qui pourraient remplacer les plâtres pour soigner les fractures.

OREILLE

De nombreux centres hospitaliers pratiquent couramment l’installation chirurgicale d’implants cochléaires, systèmes électroniques placés sous la peau et dans l’oreille qui ont révolutionné la prise en charge de la surdité neurosensorielle sévère.

CŒUR

La société française CARMAT va développer le protocole d’implantation de son cœur artificiel, en France et dans d’autres pays. Pour rappel, conçu avec des bio-matériaux de pointe, ce cœur est destiné à la transplantation chez tout sujet souffrant d’insuffisance cardiaque à un stade terminal.

MAINprothese

Il est possible de construire des prothèses de main ou de jambe commandées par les muscles grâce à des impulsions myoélectriques. Mais ces membres artificiels coûtent des dizaines de milliers d’euros. Le projet Bionico du LabFab de Rennes ambitionne de mettre au point une main bionique low cost (moins de 1.000 euros), en utilisant des briques fonctionnelles déjà existantes.

 

Source : Le Nouvel Observateur

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