France ADOT 32, Gers - Pour le Don d’Organes et de Tissus Humains
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France ADOT 32

Gers

France ADOT 324 rue Prosper Lafforgue320000 AUCHTéléphone : 05 62 63 14 28
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Qui sommes-nous

Historique de l'ADOT - Gers

Historique de l’ADOT32 – Gers

L’ADOT32 est fondée en 1988 par le club des SOROPTIMIST. Sa première présidente fut Mme AVINENS puis Mme CHOUKROUN, Mme JARDEL (2004), le Dr BRANET,le Dr BIERER (2005), Mme NIETO (2005/2011), Le Dr ANZIEU (2011/2014) Jean Luc BEAUPIED (2014 /2019),Yann SAUVESTRE (2019/…)

Les malades en attente de greffe ont besoin de vous. FRANCE ADOT32 est le partenaire privilégié.

Vous pouvez nous aider et être donneur en prenant votre carte, en devenant éventuellement bénévole, membre actif ou en faisant des dons avant le 31 décembre, sommes déductibles des impôts / Adresse postale:FRANCE Adot32 Chez Mr Yann SAUVESTRE 4 Rue Prosper LAFFORGUE 32000 AUCH.

Mail: adot.32@orange.fr

Retrouvez-nous sur   https://www.facebook.com/adot32

Quelques chiffres :

  • Population du Gers en 2019 : 189326 habitants
  • Nombre de cartes délivrées en 2010 : 312, en 2011 : 187 et 2012 : 251
  • 2013 : 417 ; 2014 : 357 ; 2015 : 341 ; 2016 :282 ; 2017 :183 ; 2018 : 138 ; 2019 : 148 ; 2020 : 25
  • Nombre total de cartes délivrées depuis 2004 : 4601

Présentation de l’ADOT – Gers

Président : Mr Yann SAUVESTRE

Trésorier : Mme Céline FAVRELIERE

Secrétaire : Mr Maxence CAILLET


Notre ADOT, nos bénévoles

Auch, le 9 mars 2023

Au nom des membres de l’ADOT 32, je m’associe au témoignage de la Présidente Nationale Marie-Claire PAULET sur l’engagement de Eliette Jardel qui vient de nous quitter.

Le président, Yann Sauvestre

 

HOMMAGE A ELIETTE JARDEL

Il est toujours difficile d’admettre que le temps passe.

Mais si des connaissances, des personnalités, des ami.es nous quittent, nous en prenons durement conscience.

Fortement engagée pour le don d’organes, Eliette JARDEL a fait partie de cette lignée de bénévoles dont l’enthousiasme était communicatif. Elle était une citoyenne engagée et concernée. C’était un pilier de la communauté. Son parcours de vie, tant sur le plan personnel que professionnel, le démontre au centuple.

Une carrière hospitalière accomplie à Auch la mènera au rang de Directrice d’hôpital honoraire. Elle devint aussi conseillère municipale, déléguée du procureur de la république, membre des Soroptimist et bénévole au sein de ‘Pharmaciens sans frontières’. Tous ces moments passés à écouter et à conseiller les autres allaient trouver leur synthèse au sein de France ADOT 32.

Elle y fut une secrétaire dévouée puis, succédant à Raymonde CHOUKROUN, elle s’affirma comme une présidente impliquée, autant que conviviale. Pour elle, qui avait surmonté une épreuve de santé difficile, il fallait aborder les sujets sans fard. Elle ne cessait de l’affirmer : « Que vous soyez pour ou contre le don, l’important est de prendre position, de vous prononcer ». Le doute n’était pas une option.

Elle ne comptait ni son temps, ni sa fatigue pour relayer le message solidaire du don et de la greffe. Elle avait une fibre associative à nulle autre pareille pour défendre la mission. Pourquoi ? « Parce que c’est simple et que ça sauve des vies ». Eliette JARDEL a respecté scrupuleusement cet engagement. Celui-ci fut légitimement récompensé à plusieurs reprises…

…comme ce jour de 1974 où elle fut mise à l’honneur par Simone WEIL, alors Ministre de la Santé, à l’occasion de l’inauguration de l’actuel hôpital d’Auch,

…comme au moment de l’annonce d’y créer une activité de prélèvement d’organes et de tissus en 2001, ce qui justifiait de tant d’efforts de persuasion,

…comme en 2006 où elle reçut les insignes dans l’Ordre national de Mérite, dont l’attribution aurait rendu son père si fier.

Eliette JARDEL était décrite comme une femme d’honneur et de cœur.

Toute sa vie, elle fut un porte-parole éminent auprès de tous les publics, jeunes, plus anciens, édiles locales, associations amies,…

Elle défendait un esprit collectif empreint de courtoisie si ce n’est d’amitié.

Au fil de mes lectures et de mes rencontres, j’ai relevé ceci : « La véritable bonté, comme la profonde gentillesse, sont discrètes et n’en imposent jamais ». C’est la parfaite définition d’Eliette JARDEL, qui savait les paroles et les gestes justes.

La Fédération et les Administrateurs Nationaux tiennent à adresser leurs très sincères condoléances à ses proches, à ses amis de l’ADOT 32 et à ceux au-delà de la sphère associative.

Au nom du Conseil d’Administration de FRANCE ADOT

Bien à vous et avec toutes nos amitiés

La Présidente Nationale Marie-Claire PAULET

Assemblée Générale du 2 décembre 2022

Challenge des Gentlemen Samedi 20 Novembre 2021

Yannick LACROUTS avec Antonio PANTALONE et Jacques AURICANE

 

 

Marie Noëlle

Journée Nationale 22/06/19

Don de sang Mauvezin 03/07/2017Fleurance 08/09/2018Fleurance 03/09/2016

Ilsle Jourdain 09/09/2017

Marie Noëlle et Yann avec Gérard Collomb Maire de Lyon au Congrés 2018

Lycée Lectoure 20-04-2017

Congrés 2018
Adot 32 avec Daniel VEYSSIERE Président Adot81

Campus Saint Christophe Masseube 21/01/2020

AUCH 03/04/2016

Nos événements, passés ou à venir

La carte de donneur : un engagement fort

Daniel MAROUDY * – Novembre 2016

A l’heure où des jusqu‘au-boutistes du consentement présumé disent, soi-disant, vouloir épargner une souffrance aux familles, en les excluant de la décision du don d’organes de leur proche décédé, d’autres ou les mêmes dévalorisent ou rejettent le bien-fondé de la carte de donneur. Ces derniers dénient, en quelque sorte, à ceux qui la portent l’expression et la validité de leur consentement. On le ressent ainsi. On n’aura jamais  autant  fait de tords  à  cette  belle et nécessaire  disposition humaine qu’est l’assentiment au don d’organes.
C’est une grave erreur de déprécier le rôle et l’utilité de la carte de donneur d’organes. Elle n’a pas de valeur juridique, nous  dit-on !  Et alors !   C’est une manifestation de volonté !
Que peut-on  de mieux ou de plus  pour la morale et  l’éthique  d’un don d’organes ?  La loi ne fait-elle pas de la volonté du défunt la condition du don ? La carte en est l’expression manifeste. La supposition d’un consentement vaut-elle mieux que sa preuve ? La parole de la famille est-elle si irremplaçable au point de rendre nulle et non avenue celle écrite de la main du défunt ? La carte, n’est-ce pas une garantie patente, et une sacrée aide à la décision pour la coordination hospitalière ?

Prendre et porter une carte de donneur d’organes est un choix philosophique, un fait de conviction, le témoignage d’une grandeur d’âme. C’est aussi un acte quasi testamentaire, par lequel on décide du devenir de sa dépouille après la mort et que la morale et les bonnes mœurs engagent les vivants à respecter. Cette carte est un engagement, une certaine idée de soi, de l’autre, de l’humanité.
Déprécier la carte de donneur d’organes, c’est disqualifier l’esprit, les vertus et la volonté dont elle témoigne. Quiconque cherche à s’en affranchir, à récuser ce mode d’expression ou sa valeur, porte cruellement atteinte à la mémoire du défunt. Mais pas seulement. Cette carte est aussi un plaidoyer pour une cause. Son rejet ou son dénigrement est un affaiblissement pour le don d’organes.

La carte de donneur : un choix à respecter

A défaut d’un propos verbalisé, la présence d’une carte de donneur fait preuve des volontés du défunt pour la famille. Là où la croyance au consentement présumé se dérobe, la carte peut convaincre. Pour des proches hésitants, désemparés face à la terrible question du choix du défunt, la carte est déterminante. Elle supprime l’incertitude, le stress de la décision, le sentiment de culpabilité, les remords. La carte de donneur est un lieu d’assurance, une garantie, un motif d’apaisement pour la mémoire. Elle évite ou réduit les disputes familiales. Elle permet aussi une tranquillité existentielle et mémorielle ; on se met  en paix avec le mort en exauçant ses volontés.
De même, pour les coordinations hospitalières, la présence de cette attestation de volontés trouvée sur le défunt ou signalée par un proche, libère de la problématique du consentement présumé au profit d’un dialogue fondé sur un don explicite et consentit, telle  que l’éthique et  la morale du don l’envisagent. La carte de donneur a une fonction opérationnelle, libératrice et sécurisante pour l’équipe de coordination et notamment dans ses préoccupations de conscience. C’est avec un esprit dégagé, serein, sans émotion négative que le prélèvement des organes est assumé et s’inscrit valablement dans l’expérience professionnelle heureuse.

Faire connaitre sa position

On peut s’étonner de ce dédain que certains réservent à la carte de donneur d’organes et du déni juridique brandi pour en réduire la portée et les vertus, alors que les services de l’Etat ne partagent pas cet obscur discours. Quand la direction de l’information légale et administrative sous la tutelle du premier ministre aborde la question du don d’organes en 2014, elle préconise avec netteté « de faire connaître de son vivant sa position grâce à la carte de donneur d’organes » [1].  Au sommet de l’Etat en France, la carte de donneur d’organes est reconnue et conseillée pour sa fonction indicative de position en faveur du don.
Il est temps de le faire savoir et  de reconnaître à cette carte sa valeur probante et ses multiples mérites.
Notre propos ne met jamais en cause la présomption de consentement dans son approche humaniste, civilisée, raisonnable, et dès lors justifiée. Mais à faire du consentement présumé un dogme absolu bouscule fondamentalement notre anthropologie et crée des résistances au don d’organes.

Il nous parait plus intelligent et plus recevable, pour des familles endeuillées et en pleine souffrance, de privilégier d’autres voies que le bras armé de la loi pour réduire les refus.
Certes pas seulement, mais notamment en réservant à la carte de donneur un accueil plus favorable, un intérêt plus élevé.
Elle est  une indication de volonté dont l’évidence, le sens et la force sont des arguments inégalables et décisifs pour le cheminement de l’entretien avec les proches du défunt. Par endroits, la carte de donneur comme preuve de position favorable, permet à la coordination de décider du prélèvement des organes là où le consentement présumé est reçu comme une souffrance pour la mémoire.
Ce précieux document doit  être promu et servir à développer démocratiquement la culture et l’assentiment en faveur du don d’organes. Elle est de nature à réduire les refus de don par des effets d’engagement, de dynamique sociale et intra familiale, d’aide à la décision  à l’hôpital.

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